8 mai 2025 • ACTUALITÉS
La question de la fin de vie est universelle, intime, et profondément complexe. Souvent taboue, elle se trouve au croisement de débats législatifs, médicaux, sociaux et éthiques majeurs. En France, les réflexions autour de la fin de vie prennent une nouvelle ampleur à l’heure où l’Assemblée nationale examine deux propositions de loi majeures : l’une vise à renforcer l’accès aux soins palliatifs, l’autre à reconnaître un droit à l’aide à mourir, dans la continuité des travaux de la Convention citoyenne sur la fin de vie.
Premier acteur hospitalier non lucratif en France, le Groupe SOS en est convaincu : permettre à tous·tes une fin de vie digne, libre et accompagnée, passera à la fois par un renforcement massif de l’accès aux soins palliatifs, et par une reconnaissance – strictement encadrée – du droit à l’aide active à mourir. Deux accompagnements souvent perçus comme opposés mais pourtant complémentaires.